Hsinchu, Danses Traditionnelles Taïwanaises

Feuille de l’œuvre

Hsinchu, Danses Traditionnelles Taïwanaises · code de l’œuvre 55FE

Données techniques

année2023
date d’achatacquis dans le portefeuille
valeur actuelle estimée en €consulter la Table des Prix mise à jour
identification du sujetpeinture abstraite/œuvre reconstructiviste
matériaux et techniqueshuile sur toile/travail de matériaux
mesures en centimètres cm70 x 50 x 1,8
les inscriptionssignature
technique d’inscriptionhuile
position d’inscriptionau dos/en bas/à droite
transcriptionValvo
certificat d’authenticitéémis en même temps que la vente
multiples artistiquesaucune impression émise
état de conservationœuvre intacte
emplacement de l’œuvre Rome · Italie
droits d’auteur© tous droits réservés · global · S.I.A.E.

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Raisuli O. T. Valvo · Hsinchu, Danze Tradizionali Taiwanesi ·  2023 · Picture 0 · © All rights reserved S.I.A.E.
Hsinchu, Danses Traditionnelles Taïwanaises · code de l’œuvre 55FE

Description de l’œuvre

Hsinchu, Danses Traditionnelles Taïwanaises

En Chine, la danse est une forme d’art extrêmement diversifiée, composée de nombreux genres modernes et traditionnels. Les danses couvrent un large éventail, des danses folkloriques aux représentations d’opéra et de ballet, et peuvent être utilisées dans les célébrations publiques, les rituels et les cérémonies. Il existe également 56 groupes ethniques officiellement reconnus en Chine, et chaque minorité ethnique possède également ses propres danses folkloriques.
De nombreuses danses traditionnelles ont une longue histoire. Il peut s’agir de danses folkloriques ou de danses qui étaient autrefois exécutées à titre de rituels ou de divertissement, et certaines peuvent avoir été exécutées à la cour impériale.
Les danses folkloriques ont joué un rôle historique important dans le développement de la danse en Chine. Certaines des premières danses des rituels et cérémonies de cour peuvent avoir évolué à partir de danses folkloriques. Les dirigeants de diverses dynasties collectionnaient les danses folkloriques, dont beaucoup devenaient finalement des danses de cour.
De nombreuses danses folkloriques sont liées à la récolte et à la chasse et aux anciennes divinités qui leur sont associées.
Dans les centres de divertissement appelés wazi pendant la dynastie Song, diverses formes théâtrales ont prospéré et l’opéra chinois a commencé à prendre forme, et la danse a commencé à se fondre dans l’opéra. Certaines danses telles que la « Danse du jugement » (舞判, également appelée danse Zhong Kui, 跳鐘馗) sous la dynastie Ming, et les danses de la dynastie Song telles que « Agitant le drapeau » (撲旗子) sont devenues des pièces d’opéra. Une autre danse adoptée dans l’opéra est la danse de l’épée. L’opéra chinois est devenu très populaire sous la dynastie Yuan et, dans les dynasties suivantes, les danses ont été absorbées par l’opéra.
Dans cette œuvre, l’artiste nous offre le spectacle des couleurs typiques de certaines danses chinoises, dont il a été témoin, presque par hasard, lors de son séjour en Extrême-Orient, qui s’est déroulé de 2007 à 2009, en République de Taiwan et, plus précisément, à Hsinchu, une ville du nord du pays, située sur le détroit de Formose.
La concentration chromatique s’opère dans la partie centrale de la toile, là où les mouvements des danseurs trouvent leur paroxysme. La représentation perspective de la scène est ici traduite de manière purement bidimensionnelle, dans un style pleinement reconstructiviste. Le jeu des acteurs en costume apparaît donc à travers des éclairs de couleurs, qui surgissent avec une véhémence décisive par le déploiement d’un dynamisme optique d’ensemble. Les parties périphériques de l’espace pictural sont en revanche dédiées à une symbolique graphique, typique de l’auteur et proposée ici de manière prépondérante. Une sorte de double poussée opposée se crée donc au sein de l’œuvre : de l’extérieur vers le centre, ainsi que, de manière exactement opposée, du centre vers l’extérieur de la toile. Les symboles graphiques en noir sur fond gris semblent comprimer le sujet traité de toutes parts, l’entourant à trois cent soixante degrés. Ce dernier, pour sa part, semble exploser dans tous les sens, en réaction à une telle poussée compressive. Il en résulte donc une forte tension dynamique qui s’apprécie au premier coup d’œil.
L’œuvre exprime la vitalité profonde et joyeuse de ce spectacle de danse traditionnelle chinoise en plein air, dans toute sa force chorégraphique et stylistique. Dans tout son caractère spectaculaire.
Les nuances dominantes sont celles du rouge, du turquoise et du jaunâtre, qui, toutes ensemble, évoquent le sentiment d’un triptyque primaire, très puissant et musical, exprimé en quadratures irrégulières et sans doute insaisissables.

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